16 octobre, 9h56 >> Véronique est 23ème au pointage de la matinée. « De l’Espace pour la Mer » avance toujours à bonne vitesse (5,9 nœuds). La navigatrice Essonnienne est en mer depuis maintenant 9 jours. Et se situe à 211,54 milles de la tête de la flotte des voiliers de série. Elle va attaquer dans les heures qui viennent le pot au noir. Zone de convergence intertropicale, point de rencontre entre les alizés de l’hémisphère Nord et les alizés de l’hémisphère Sud, le pot au noir se présente sous la forme d’un entonnoir dont le coté le moins large est devant l’étrave du pogo 2 skippé par Véronique. Il se caractérise par un vent très capricieux qui change très vite et un ciel souvent gorgé d’eau de pluie. Une transition avant le passage de l’équateur qui est un moment important de cette seconde étape de la transat 6,50. En effet, l’observation du plan d’eau, un maximum de concentration pour faire avancer son voilier sont demandés aux concurrents et il n’est pas rare de rester scotché longtemps au milieu de cette fameuse zone. A contrario, c’est aussi la possibilité de se refaire la « cerise » ! Ainsi, Véronique pourrait remonter franchement au classement. Sa nouvelle camarade de jeu, Dominique Barthel (22ème) n’est qu’à 4 milles alors que Matthieu Girolet (21ème) est à 8 milles !mardi 16 octobre 2007
En approche du pot au noir !
16 octobre, 9h56 >> Véronique est 23ème au pointage de la matinée. « De l’Espace pour la Mer » avance toujours à bonne vitesse (5,9 nœuds). La navigatrice Essonnienne est en mer depuis maintenant 9 jours. Et se situe à 211,54 milles de la tête de la flotte des voiliers de série. Elle va attaquer dans les heures qui viennent le pot au noir. Zone de convergence intertropicale, point de rencontre entre les alizés de l’hémisphère Nord et les alizés de l’hémisphère Sud, le pot au noir se présente sous la forme d’un entonnoir dont le coté le moins large est devant l’étrave du pogo 2 skippé par Véronique. Il se caractérise par un vent très capricieux qui change très vite et un ciel souvent gorgé d’eau de pluie. Une transition avant le passage de l’équateur qui est un moment important de cette seconde étape de la transat 6,50. En effet, l’observation du plan d’eau, un maximum de concentration pour faire avancer son voilier sont demandés aux concurrents et il n’est pas rare de rester scotché longtemps au milieu de cette fameuse zone. A contrario, c’est aussi la possibilité de se refaire la « cerise » ! Ainsi, Véronique pourrait remonter franchement au classement. Sa nouvelle camarade de jeu, Dominique Barthel (22ème) n’est qu’à 4 milles alors que Matthieu Girolet (21ème) est à 8 milles !
