Le site officiel de la Transat 6,50
Retrouver le CNES au départ de la course à La Rochelle
L’aventure de la Transat 6,50
Le concept de cette course est un véritable défi: une traversée de l’Océan Atlantique par un marin, en solitaire, sur un voilier de 6,50 mètres, sans assistance. A bord, Véronique ne pourra compter que sur elle-même. Déjà un parfum d’aventure…
Au début, un rêve
-
Créée par le Britannique Bob Salmon qui
rêvait de participer à une course en solitaire
à la voile traversant l’Atlantique d’Est
en Ouest, la première édition de la Mini-Transat
a eu lieu en 1977.
- A l’époque, la seule compétition de
ce type était la Transat Anglaise pour laquelle des bateaux
de plus en plus grands et coûteux s’alignaient au
départ. En réponse à
l’escalade financière des transats, Bob Salmon
créa la Mini-Transat, ouverte uniquement à des
petits voiliers qui ne devaient pas mesurer plus de 6,50m de long.
- 23 bateaux prirent le départ de cette première
édition à Penzance (Sud-Ouest de
l’Angleterre) pour rallier Santa Cruz de Tenerife aux
Canaries, puis Antigua.
- En 1984, la majorité des coureurs étant de
nationalité française, l’organisation
de la course, désormais appelée Transat 6,50, est
reprise par les français.
La Transat 6,50 fête ses 30 ans …
… et toujours la Transat 6,50 compte parmi les rares courses transocéaniques d’un niveau élevé, qui restent malgré tout une véritable aventure en solitaire (pas de vacation avec la terre). Au fil des années, elle a toujours su rester d’un budget abordable. Aujourd’hui, elle regroupe une dizaine de nationalités, dont la majorité est européenne.
Deux catégories de voilier
La Transat 6.50 se court tous les 2 ans sur 2 catégories de voiliers, série et prototype, faisant chacune l’objet d’un classement. Le parcours – 4500 milles, soit près de 8100 km – s’effectue en deux étapes : - la première emmène les 75 concurrents de La Rochelle à Madère, où les navigateurs font escale durant 10 jours - la seconde étape entraîne la flotte à travers l’Archipel du Cap Vert, le pot au noir, la route des Alizés, jusqu’au Brésil où l’arrivée est jugée à Salvador de Bahia.